PV COOREDINATION NATIONALE DU 03/02/07

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CR de la 1ère réunion de la coordination nationale du 3 février

Sous forme de saisie des minutes par Sylvie Rabie, secrétaire de la réunion

dimanche 4 février 2007

Ce compte-rendu est divisé en deux parties : la première est constituées de quelques remarques personnelles en appréciation subjective, la seconde est une retranscription aussi fidèle que possible de ce qui a été dit pendant la journée.
Partie 1 - notes personnelles
Partie 2 - Transcription
  Préambule
  Prises de parole
  Réponses à José Bové
  Législatives
  Présidentielle

Partie 1 - notes personnelles

Environ 66 personnes ont participé (52 hommes et 14 femmes, environ « 37 délégués de collectifs, 22 personnalités et représentants de sensibilités et 7 observateurs et nouveaux venus « hors catégorie »).
Parmi les anciens de CIUN, étaient présents (mais ne sont pas tous restés du début à la fin : Pierre Cours-Salies, qui préside la séance, Yves Salesse, Claude Debons, Claire Villier, Patrick Braouezec, Pierre Zarka, Christian Piquet, Christian Stunt, Eric Coquerel, Francine Bavay, Bernard Guibert, François Soltic, France Coumian, Monique Dental, Raoul-Marc Jennar, Roland Mérieux...).

On voit des têtes neuves, plus jeunes et plus colorées. Donc, certains militants sont partis, mais d’autres sont arrivés. Ce que nous attendions depuis le début, la diversification générationnelle et « ethnique » de notre mouvement, est en train de se réaliser grâce à la candidature de Bové.

Pour moi, déjà là, cette candidature prouve son intérêt et sa légitimité populaire. José Bové permet de donner la parole aux sans voix, et il suffit de les écouter pour constater que quand on la leur donne, ils savent s’en emparer.

Ambiance un peu tendue dans la salle.
Ceux qui sont « à fond pour la campagne Bové » craignent des embûches ou des ralentissements de la part de ceux qui sont réticents ou non partants. Les réticents ou observateurs craignent d’être débordés ou marginalisés. Mais on perçoit quand même que le désir d’unité est le plus fort et que chacun fait des efforts pour respecter les points de vues et les stratégies des autres.

Quelque chose s’est néanmoins perdu depuis les mauvaises manières du PC : la joie et la confiance avec lesquelles on travaillait « avant ». Les « nouveaux venus » en sont porteurs. Ils se font vite « contaminer ». Nous avons un travail à faire à ce sujet, et aussi un effort pour cesser de jargonner : être plus simples, plus clairs, plus accessibles dans notre vocabulaire - ce qui n’exclue pas la finesse de pensée et la complexité politique.

Partie 2 - Transcription

Préambule
  l’ordre du jour est très chargé et la réunion sera un peu « improvisée ».
  certains au collectif national voulaient retarder cette réunion d’une semaine, pour mieux la préparer.
  Cette coordination est provisoire, mais tant qu’elle fonctionne, elle se réunira toutes les deux semaines.

Prises de parole :
  Claude Michel, de la CGT Spectacles souhaiterait rejoindre le coordination à titre de « personnalité », en tant que représentant des intermittents et des syndicats.
  Il serait intéressant d’ajouter aussi, parmi les « sensibilités », des représentants des « quartiers ».
  Nécessité de définir comment se structurent les collectifs locaux et les coordinations départementales et comment la coordination nationale s’inscrit par rapport à la campagne Bové.
  Attention à la parité et à la rotation des délégués.
  Qu’advient-il maintenant des 125 propositions ?
  Est-il possible que les départements d’Ile de France envoient des délégués + des observateurs qui ne participent pas aux débats ?
  L’Ile de France souhaite bénéficier d’un délégué par département (et pas 4 pour toute la région).
  Isabelle Laurent (PC unitaire) demande que Pierre Zarka rejoigne les personnalités pour laisser la place à des nouvelles têtes représentant le PC unitaire en tant que « sensibilité ».
  La coordination devra fonctionner au moins jusqu’à l’automne, éventuellement plus, jusqu’à la restructuration du mouvement.
  Il est important de garder une majorité de délégués des collectifs locaux dans la coordination, donc ne pas rajouter sans compter des « personnalités » ou des représentant de « sensibilités ».
  Le mouvement doit se donner un nom.
  Nous devons traiter à égalité le PC et la LCR.
  Quelle est la légitimité de la coordination ? Représente-t-elle aussi les collectifs qui ne font pas la campagne Bové ?
  Il faut recenser les collectifs qui font la campagne Bové et les « labelliser ».
  Ajouter dans les 125 propositions des mesures sur la sécurité.
  Il y aura, en parallèle aux collectifs, des comités de soutien à Bové. Comment seront-ils représentés ?
  Les coordinations départementales sont importantes. Si elles fonctionnent bien, les délégués à la coordination nationale peuvent tourner. Ainsi, il n’y a pas besoin d’un délégué par département.
  La coordination nationale représente tous les collectifs unitaires, y compris ceux qui ne font pas la campagne Bové (mais pas ceux qui sont sortis du mouvement pour faire la campagne du PC).
  Une coordination ne doit pas décider, mais juste coordonner. Le nombre de délégués n’a donc aucune importance. Ce qui compte, c’est l’ordre du jour et le mandats des délégués sur cet ordre du jour.
  Il faut clarifier les sites internet. Quel site correspond à quel besoin ?
  Nécessité urgente de recenser les collectifs, sinon comment imaginer coordonner ?
  La rotation des délégués est un beau principe, mais cela favorise les représentants des « sensibilités », qui seraient permanents et plus expérimentés et risqueraient de mener les débats avec des délégués de collectifs nouveaux venus qui doivent prendre le temps de prendre leurs marques, écouter...
  Les collectifs locaux sont la légitimité du mouvement. Ils doivent être aussi nombreux que les parisiens - donc pas rajouter de personnalités.
  Mettre en place des listes de discussion internet pour dialoguer entre deux réunions, car une fois toutes les deux semaines, c’est trop peu.
  Quel est le statut actuel de l’ex CIUN ? Il faut tourner la page. C’est la coordination nationale qui doit maintenant travailler sur la, campagne et garder les contacts avec le PC, la LCR et les Verts.
  Envoyer les comptes-rendus de la coordination à l’ensemble des signataires de la pétition Bové.
  Dans la Manche, la majorité des collectifs se sont mis en retrait et souhaitent le maintien de l’ancien CIUN.
  Omeya - Banlieue et immigration - Groupe constitué après Montreuil et suite à l’appel à Bové. Ont des réseaux sur toute la France, peuvent créer des collectifs partout ou rejoindre des collectifs existants. Ne savent pas encore comment faire. Quel est leur statut par rapport à la coordination ?
  Yves Salesse - lever l’ambiguïté : beaucoup de collectifs ne s’engagent pas dans la campagne Bové. Il faut donc bien distinguer entre la coordination nationale et le comité de campagne Bové.
  Raoul-Marc Jennar - c’est difficile, complexe, nouveau, mais telle est la réalité.
  José Bove - tout est devenu plus complexe. Des collectifs se mettent en retrait, d’autres se créent. Des gens qui n’étaient pas dans les collectifs rejoignent le mouvement ou s’organisent en parallèle. Il ne faut pas y voir une division, mais cela alimente et augmente les réseaux.

Réponses à José Bové
  Dans l’Hérault, nous sommes ensemble depuis 2004, à tout moment et sur toutes les luttes, y compris ces présidentielles et législatives 2007. Il ne faut pas donner de consigne de vote au 2ème tour, mais dire que notre 2ème tour, c’est les législatives.
  Bruno - nouveau venu depuis l’Isère - Attention, les nouveaux venus ne maîtrisent pas le jargon militant. Ils se perdent entre « collectifs », « comités », « coordination » etc. Toutes ces tergiversations vont nous faire fuir.
  Comment bien intégrer les « nouveaux » dans le rassemblement ?
  Même si nous ne faisons pas la campagne dont nous avons rêvé, gagnons-là en nous basant sur le programme et l’unité.
  Dans le Limousin, la candidature Bové a redynamisé une dynamique en perdition. Nous étions 10, nous sommes 40 maintenant. Le PC, qui verrouillait est parti et on se restructure tout seuls. On leur « pique » des parrainages, de même qu’aux Verts.
  Comment gérer cet élargissement des militants au-delà de la campagne Bové ?
  Comment la coordination nationale doit-elle travailler avec le comité de campagne ?
  Nous devons acter que l’ex CIUN n’est plus. La coordination doit prendre le relais et travailler pour les législatives.
  Claude Debons - nous sommes tous d’accord pour mener la campagne jusqu’au 10-11 mars. Après, on verra la légitimité électorale et populaire de cette campagne. Le comité de campagne y travaille. Il faut clarifier la nature des meetings : autour de Bové ou axés sur le programme. C’est important pour l’adhésion des différents porte-parole.
  Christian Piquet (LCR) - il y a une vie après la présidentielle. Les meetings doivent avoir l’objectif de retrouver l’unité.
  Après St-Ouen, nous ne pouvons plus faire confiance au PC ni nous laisser dicter quoi que ce soit par eux, y compris pour les législatives. Les situations locales sont complexes et spécifiques. Laissons les collectifs locaux les gérer comme elles le veulent.
  Dans les Bouches du Rhone, nous nous sommes séparés des « buffetistes ». Ne traitons pas la candidature Bové comme celle de MGB ou OB. Eux ne représentent que leur parti. Bové représente un rassemblement. Sa candidature est la seule qui est porteuse d’unité.
  Roland - Brest - Bové devrait faire un meeting à Brest : le président est le chef des armées et de la dissuasion nucléaire. Or, celle-ci est à Brest. Il serait intéressant de porter à Brest des idées claires à ce sujet, face à l’incompétence et l’incohérence de Ségolène Royal dans ce domaine.
  Eric Coquerel - Le Mars - Nous sommes actuellement observateurs. Nous sommes attentifs, avec constamment la possibilité de partir tout à fait ou de revenir.
  Laissons la plus grande liberté à chaque collectif, département, région. Nous n’avons pas à leur dicter leur conduite, juste coordonner.
  Ne tergiversons pas, pas de retour en arrière vers la situation d’avant Montreuil.
  Notre objectif n’est pas électoral, mais politique. Les élections sont un moyen, l’unité aussi. Notre rôle doit être de faciliter tout ce qui peut faire changer la politique de la France, donc la campagne présidentielle et législative et l’unité. Nous ne devons jamais mettre des obstacles. Evitons les frictions entre nous car le combat est rude et il est ailleurs, contre la droite et la capitalisme.
  Algéra - Banlieue et immigration - nous sommes venus sur la base de la campagne Bové. Enfin s’ouvre pour nous un espace pour représenter notre sensibilité et nos revendications. Nous avons peu de temps et nous voulons être efficaces. Devons-nous rentrer dans la coordination ? Nous ne faisons pas confiance aux partis. Nous n’avons pas l’habitude de la politique, ni de nous engager. Nous voulons savoir où nous allons.
  On ne veut pas entendre parler de stratégies d’appareils ou d’ambitions personnelles. Nous voulons un mouvement citoyen. C’est l’essence de la candidature Bové : des citoyens qui sont venus se mêler de politique.
  Il faut axer la campagne sur l’humain, la vie, le concret.
  La campagne doit être comme prononcée à Montreuil : collective. Ce n’est pas une campagne Bové.
  Le CIUN doit disparaître définitivement.
  Résumé Pierre Cours-Salies - Il a bien été dit à Montreuil que chacun décide de son engagement. Les meetings sont collectifs et toutes les sensibilités doivent y être représentées. Le CIUN ne doit plus se réunir avec le PC. Il doit se dissoudre et c’est la coordination qui doit prendre le relais du dialogue avec les partis. Un secrétariat de la coordination doit être créé. Il préparera les réunions. Il se chargera d’organiser ce qui aura été évoqué en réunion sans pouvoir être mis en œuvre faute de temps. Composition du secrétariat : Pierre Laporte, Franck Mérat, Claude le Garanic, Bernard Guibert, Monique Dental, France Coumian, Delphine Delallée, Claude Debons, Pierre Cours-Salies, Christian Piquet, un-e Alternatif-ve.

Législatives
  Etienne Adam - agir rapidement. L’autonomie des législative par rapport aux présidentielles est très relative. Les deux sont liées. Nous souhaitons mettre en place un cadre unitaire pour avoir des élus. Nous devons mandater une délégation pour rencontrer le PC, la LCR et les Verts, mais sur quelles bases ? Celle de l’autonomie par rapport au PS, celle des 125 propositions. Nous devons nous donner les moyens de notre autonomie, avec une association de financement. Les législatives ne sont pas des élections locales : elles nécessitent une harmonisation nationale.
  En Haute-Garonne, La rupture avec le PC est consommé, nous aurons des candidats unitaires dans toutes les circonscriptions. Chaque collectif discute et cherche à faire émerger des candidatures. Ensuite, on se réunit par AG de circonscription. Chaque circonscription choisi son candidat-e, avec un-e suppléant-e de sexe opposé et de sensibilité politique différente. Chaque circonscription établit ainsi une liste de plusieurs candidat-e-s. Ces listes seront remontées à la coordination nationale qui effectue des arbitrages, si nécessaire, pour rétablir la parité et la représentativité.
  En Languedoc-Roussillon, c’est pareil. Un camarade PC unitaire se demande s’il doit y aller avec nous ou avec le PC.
  En Lot et Garonne, le PC nous impose ses candidats. Ce sont des octogénaires sectaires et racistes. Impossible de discuter avec eux.
  A Paris aussi le PC a les dents longues. Il a déjà négocié avec le PS. Nous devons présenter des candidats pour les aider en vue des futures municipales.
  Dans le 95, difficile d’être déléguée d’une coordination totalement divisée. On est complètement perdus. Est-ce qu’il faut d’abord choisir des candidats et ensuite discuter avec le PC ? Le PC nous met la pression. Quelles sont les échéances ?
  L’objectif est une seule candidature anti-libérale dans chaque circonscription. Ca devrait être négocié au niveau national. Sinon, au niveau régional, sinon départemental, et enfin au niveau de chaque circonscription, en dernier recours. Les dicussions doivent commencer tout de suite.
  La division existe en PACA comme au niveau national. L’intrusion de PC dans les collectifs était très forte (collectif de 15V délégués, devenus 40 lors du vote pour MGB). La séparation est maintenant consommée. Il n’y a pas de personnalité PC unitaire de poids dans la région. Le collectif départemental est en panne.
  Les législatives seront soit l’occasion de retrouver l’unité, soit d’affirmer la séparation. Evitons de devenir une énième force, contre les partis. Les discussions ne peuvent pas se faire juste localement. Il nous faudra un rapport de force. Si Bové fait 5 %, c’est excellent pour nous et pour le rapport de force.
  Le PC essaye de nous entraîner encore avec lui, après avoir déjà tout verrouillé en sa faveur. Il ne sert à rien de discuter avec un parti dominant au niveau local. Soit il y a un accord national, soit une autonomie complète. L’échéance, c’est le 10-11 mars. A cette date, une délégation de la coordination nationale doit avoir rencontré le PC, la LCR et les Verts.
  Il faut nous choisir un nom car les communistes peuvent décider de s’appeler « collectif unitaire » aux législatives.
  Ne nous laissons pas piéger dans des négociations de cartels et n’agissons pas comme un cartel. Nous devons avoir des règles claires : non cumul des mandats, pas de 3ème mandat pour un même élu, la parité avec des femmes titulaires et pas toujours suppléantes sur des circonscriptions gagnables. Les candidats doivent soutenir notre programme, la 6ème république...
  Donner la représentation chiffrée et sexuée des présents à cette coordination.
  Christian Piquet - objectif une candidature unitaire labellisée par circonscription. Partir plutôt de l’échelon local pour faire pression sur le national. Refuser tout accord avec le PS de Royal. Le CIUN n’existe plus, mais le dialogue avec les partis doit continuer. Mettre en place rapidement une délégation qui travaillera en toute transparence.
  Dans la Manche, on négocie au niveau local et 2 candidats sur 5 seront unitaires.
  OK pour le non cumul des mandats. N’aller que sur les circonscriptions gagnables ou aller partout pour promouvoir nos idées ?
  On pourrait présenter systématiquement au moins un candidat par département.
  Nommer notre programme pour le différencier de celui du PC.
  Etienne Adam - résumé - beaucoup de désaccords. Négocier ou pas ? A quel échelon ? Question de la solidarité : accepter ou pas le « moi, je fais comme je veux dans mon coin » ? Il est indispensable de faire un état des lieu national en demandant aux collectifs de remplir une grille qui indique les circonscription, ce qui est gagnable, les candidats potentiels, les forces en présence... pour avoir une vision globale et claire de la situation.
  Pierre Cours-Salies - actions à mener : constituer une délégation pour rencontrer les partis. Faire un état des lieux précis. Continuer la réflexion et le débat dans les régions avant de décider comment nous positionner.
  Si pas de cumul des mandats, on perd Patrick Braouezec et d’autres. Soyons souples cette fois-ci au moins.
  Il faudrait des spécialistes des cartes électorales pour faire une grille d’analyse à envoyer aux collectifs pour faire remonter une image précise de la situation. C’est trop complexe pour être fait par un simple secrétariat « technique ».
  Francine Bavay - on peut discuter avec les Verts au niveau local.

Présidentielle
  Raoul-Marc Jennar - plein de meetings sont prévus. Il n’y a pas encore de local de campagne. L’organigramme du comité de campagne doit être complété et précisé. Priorité absolue à la collecte des 500 signatures.
  On peut avoir deux meetings en même temps, avec des porte-parole différents.
  Nécessité de faire le point sur l’organisation financière. Publier un « mode d’emploi » et toutes les bonnes pratiques.
  Il faut se positionner en soutien des luttes et notamment le 8/2 au côté des syndicats.
  Roland Mérieux - l’argent qui rentre doit être envoyé par chèque à Roland Mérieux, mandataire financier de José Bové. Les dons pourront bénéficier d’une déduction fiscale seulement si nous avons les 500 signatures. Me contacter pour les dons importants et pour faire des prêts. Pour l’instant, il n’y a pas de budget. Tout doit être auto-financé dans la mesure du possible. Les meetings seront pris en charges sur le budget national et seront payés après la campagne. Tous les frais des meetings doivent passer par le mandataire financier. Garder les factures de toutes les dépenses. Organiser une souscription immédiate. Des indications précises seront fournies par écrit.
  A partir du 22 février, il faut transformer les promesses en vraies signatures. Aller pour cela à la rencontre des maires et renvoyer le formulaire officiel à Clément Aumeunier.
  Retirer de la campagne ou pas, le site www.alternativeunitaire2007.org car c’est aussi celui des collectifs qui ne font pas la campagne Bové.
  Les objecteurs de croissance n’ont pas de porte-parole désigné. S’adresser à Christian Stunt pour un porte-parole au meetings.
  Nous organiser pour répondre aux sollicitations des organisations et associations qui interrogent tous les candidats sur divers sujets.
  Revoir les 125 propositions pour le contrôle citoyen, les services publics...
  Ne pas appeler au désistement pour Royal au 2ème tour.
  Quel matériel de campagne sera donné aux collectifs des banlieues et immigration ? Comment l’utiliseront-ils ?
  Attention à ne pas nous laisser piéger par la presse qui peut raconter n’importe quoi, nous manipuler et nous entraîner vers des divisions internes. Vérifier toute informations qui nous semble poser problème avant de réagir au quart de tour.
  Croiser notre campagne avec le monde du travail. Nouer des contacts avec les gens en lutte à l’intérieur des entreprises (pas comme MGB qui va à la porte des entreprises).
  Coupler la campagne présidentielle avec les législatives.
  Compléter le comité de campagne avec des jeunes, des immigrés, des membres de la coordination...
  L’appel à Bové continue tant qu’on a pas les 500 signatures.
  Renforcer le côté écologique du programme.
  Un appel des médecins est en gestation. Il faudrait multiplier ce genre d’initiatives.
  Les éditions Syllepse et le Diable Vauvert vont éditer un livre de campagne.
  Soyons inventifs et festifs. Organisons des actions symboliques, pas que des meetings.
  Utiliser internet et le « marketing viral ».
  Penser aux français de l’étranger.
  Ne pas remettre en cause tout ce qui a été fait depuis 2 ans par les collectifs et balayer les 125 propositions. Elles restent la base de notre programme.
  Demander des dons aux signataires de l’appel.
  Comment continuer à travailler le programme : site www.cequenousvoulons.org + réactivation des commissions de travail thématiques.

 

 

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