Ruffin

Le poison de l’union Par François Ruffin

Par Le 10/01/2015

Fakir 1Un mot, d’abord, d’évidente compassion pour les douze victimes de cette tuerie, pour leurs proches, pour leurs familles. Mon souvenir va plus particulièrement à Charb, que je connaissais un petit peu, que j’avais rencontré à l’occasion, qui avait eu la générosité de venir à Amiens, un week-end de grisaille, pour nous offrir ses dessins, en ces années où nous n’étions qu’un petit journal local, en butte aux procès.
La peine, donc, inutile de s’étaler.